« Bonjour errrrric,,,,J'ai adoré votre livre, La nuit de feu.Ce livre m'a parlé m'a touché et m'a beaucoup fait penser à mon ex beau père amoureux de l'Afrique et du hoggar. Sachez que l'expérience que vous avez vécu est l'expérience que beaucoup souhaiteraient connaître, croyants ou pas.Je vous envie.Merci pour ce beau livre qui m'a boulversé.Très amicalement Jean Joseph »
« Bonjour,
j' ai découvert vos livres dès 2001 pour "la part de l'autre" je suis restée admirative pour le travail colossal qu'a représenté ce livre. Sans ce livre je n'aurais jamais lu une biographie de "ce fureur" ! ce livre est passionnant, vraiment merci !
je vous ai suivi dans vos autres éditions, certaines n'ont véritablement séduite, mais toutes n'ont pas eu ce même élan. Et, depuis je reste éternellement aux aguets de vos publications.
A ce jour j'ai lu la "nuit de feu" pour nous tous qui ne savons rien ! Comme l'avait dit Socrate avant nous !
Encore merci pour cette belle leçon de philosophie, de partage et d'autodérision. Des pensées perspicaces sur les religions et les différences, toujours d'actualité !
Rarement je relis un livre, mais sa relecture dynamique sera savourée de nouveau, que du plaisir !
Merci.
Cordialement »
« Cher Monsieur,Je suis à l'hôpital et lit La Nuit de Feu. Merci pour ce magnifique message qui arrive tellement à point. Il semble que nous devions faire ce genre de passage pour aller vers une vie plus vaste...Je vous récrirai lorsque j'aurai repris des forces.Très amicales salutations. Norbert M. »
« Ma fille a aimé ce livre, puis me l'a donné : "il va te plaire, je le sais". Je viens de le refermer, en quittant le Hoggar avec regret mais aussi sans doute plus forte. Aujourd'hui, on a besoin d'aller plus haut pour trouver la paix. »
« Dans des circonstances comparables, d’autres auraient réagi différemment aux impressions que vous ressentîtes durant cette nuit de feu. Il n’est évidemment pas question d’argumenter : « Ce récit, s’il ébranle certains, ne convaincra personne ». Je tenais juste à vous faire savoir que, malgré une différence d’appréciation irréductible, j’ai savouré le récit apaisé de votre foi. Puisse ce trait contaminer les croyants belliqueux. »