« Bonjour Monsieur Schmitt

Quel spectacle à La Ciotat hier soir !!!!!!!

C'est un pur bonheur que de rencontrer la truculente Madame Pylinska et vous la faites vivre avec tant de tendresse.................. Et Chopin............ mon premier "amour musical".. après il y a eu Mozart, Beethoven......... Mais Chopin occupe toujours une place particulière. Revenons à vous Monsieur Schmitt. Les fées se sont penchées sur votre berceau et elles ont bien fait leur travail. Une chose est sûre c'est que vous êtes touché par la Grâce et habité par elle. Je vous remercie pour tout. J'ai été ravie d'apprendre que la suite de La Traversée des Temps sortira en janvier; Merci aussi pour votre gentillesse et votre disponibilité. Avec toute ma gratitude et mon admiration;

Marie-Antoinette »

« Cher Eric-Emmanuel Schmitt,


Hier soir, je me suis réchauffée l'âme à la chaleur de Monsieur Ibrahim. Sa sagesse n'a pas pris une ride depuis sa création et nous avons tous plus que jamais besoin de nous nourrir de sa lumière.


J'ai aimé votre interprétation juste et sensible et beaucoup apprécié la mise en scène. La musique m'a transportée. L'enseignement de la spiritualité dans les tekkés auprès des derviches et de leurs pratiques est sublime : ça donne envie d'essayer.


Vous agrandissez le monde. Vous rencontrer est un cadeau. L'avenir brille d'un attrait nouveau.


Roselyne »

« Cher Eric-Emmanuel Schmitt,


La Porte du ciel m'a ressourcée comme jamais. Je me suis reliée au personnage d'Abram, lui qui transcende son existence pour guider et transmettre ses valeurs bien au-delà de sa famille de sang.

A l'évocation de l'influence des noms, j'ai pensé à mon prénom qui m'a emmurée dès ma naissance et au travail de sape d'un surnom me dénigrant à bas bruit.

Vous me redonnez confiance en l'humain. Vous ravivez une part de moi- même qui s'est longtemps tue. Vous lire me procure un énorme réconfort. J'ai vraiment hâte de vous applaudir sur scène à Décines le 16 décembre.

D'ici là vos mots demeurent mon antidote.


Roselyne »

« Bonjour,


Quel bonheur de relire Paradis perdus !

Je goûte toujours autant la personnalité de Barak : il rayonne d'abord par son physique puis par son intériorité et déconcerte. Il s'est affranchi d'une vie pesante par des choix courageux et cultive la joie de vivre.

C'est un être lumineux et cela m'a vraiment fait du bien.

Je me suis délectée des notes de bas de page : connaissances sans dogme et profondeur de pensée, autant de pépites offertes aux lecteurs.

Quelle immense générosité !

J'ai envie tout simplement de vous remercier sincèrement et chaleureusement.


Roselyne »