« Je viens de fermer "La nuit de feu", merci pour ce récit dont le lecture participe à mon ressourcement.
Pourquoi souffrir de ne convaincre personne? Nous savons, lorsque nous avons fait l'expérience de cet immense trésor d'Amour et de Paix qu'est Dieu, que nous ne pourrons convaincre.Mais l'expérience transparaît subtilement au-delà des mots et des actes, et c'est alors un partage, une Union retrouvée, une reconnaissance avec nos "semblables" , ceux qui ont ressenti au plus profond d'eux-mêmes. C'est, une fois de plus, ne pas se sentir seul, et se savoir sur le bon chemin .
Ne souffrez plus Eric, vous nourrissez, renforcez et accompagnez ... cela fait partie du cadeau divin. »
« Merci Eric Emmanuel
Merci pour ce bon cadeau du témoignage de votre éprouvé de la vie absolue que vous nommez Dieu.Jésus dans son éprouvé l'appelle Père et meme Papa.Je n'ai pas connu le bonheur de cette nuit de braise mais je vis depuis 25 ans un dévoilement progressif de ce chaleureux éprouvé de Dieu en mon coeur et dans les épreuves(pas toujours dans des modalités de plaisir) de la vie.
Vous donnez beaucoup de joie profonde avec des mots simples ,précis et bons!
J'ose vous appeler mon ami ! »
« Bonjour Éric-Emmanuel,
Je vous ai rencontré lors d'une conférence il y a quelques années. Ma passion et ma fougue auraient voulu vous demander de vous révéler en nous parlant de votre expérience dans le désert.
Aujourd'hui, en refermant "La nuit de feu", je suis bouleversée, comme je l'ai été lors de la lecture de "L'Evangile selon Pilate".
Merci, merci. D'être mon frère en humanité. De me donner tant en osant être nu. De me guider sur un chemin de douceur et de plénitude.
Merci d'être vous, et de partager ce cadeau de la vie... »
« Ce qui importe effectivement est de témoigner. Les témoins sont comme des jalons sur la route. Ils réconfortent ceux qui sont en marche, ils interpellent ceux qui ignoraient l'existence d'une route. Merci pour ce témoignage et à plus tard pour d'autres rencontres sur ce chemin. »
« "La nuit de feu"s'est refermée:après un début faussement simple, modeste, elle se termine par la révélation d'un frère de cœur.Dans ce monde matérialiste,il est temps de parler du sacré : mais du sacré laïque, qui réunit , pas du sacré dogmatique , qui divise. Flamboyant ! »