« Monsieur Schmitt, j'ai lu et dévoré 24 de vos œuvres et je suis a l’affût de chaque nouvelle édition vous concernant. J'ai hâte de lire le 4 septembre votre dernier roman. "Ulysse, Rose, Noé, Ibrahim, Anne ,Hanna, Anny, June, Félix..... tous ses personnages a qui vous donnez vie, sont des êtres comme tous les hommes avec des défauts, une qualité commune le respect de l'autre et l'AMOUR. Merci Eric-Emmanuel, bravo vive la vie. »

« 1Cher Éric-Emannuel, je viens de terminer la lecture de Madame Pylinska, ou peut être de votre interprétation d'une militaire de Chopin, que de souvenirs surgissent, en particulier une petite épisode de ma vie ou un prof d'art dramatique m,a invité chez lui afin de me faire écouter moi et mon meilleur ami a l,époque 4 versions de la militiaire no 40 par 4 pianistes, ce qui m'a ouvert au monde de Chopin que dis-je de la musique, j'avais 15 ans...Merci vous m'avez touché. »

« ...comme les pétales de roses qui s'agitent en recevant la pluie créent la symphonie de la vie, la musique s'entend et émeut le regard qui se pose sur cet espace de fleurs dont on peut ressentir l'eau teur...

C'est d'une poésie que je veux vous parler, de la poé-philosophie que vous élaborez si bellement par une douce mélopée, qui nous enivre, dont on est énamouré.

Votre écrit est d'une beauté inachevée qui ne cesse de nous dévêtir de l'inutile ou du positivement correct : c'est absolument désopilant et génial à la fois. C'est comme si les mots précédaient la poésie qui nous enivre, nous enfle et nous gonfle de Bonté, de bonheurs et de vie,à la lumière d'une exaltation toute intérieure et dans un feu qui ne s'éteint pas.

Mes larmes ont coulé à flots Monsieur, et je vous en sais gré... De grâce, CONTINUEZ ! »

« Cher Monsieur,

Je viens de lire votre livre intitulé "mes maîtres de bonheur", je n'en suis qu'à la 45éme page, pris dans le lyrisme, la poésie, et la belle musique des mots, que mon cœur d'un seul coup, à force de beauté, explose en cris de joie oserais-je dire... et les larmes coulent, chaudes, vives, violentes mêmes, tant le parfum exhalé par vos largesses me touchent et m'inondent d'une exaltation sans nom, venue de "nulle part"... mais que la musique est belle ! La délicatesse de votre approche, et l'extrême finesse de vos sentiments sont une telle arme, que j'en reçois tous les coups ; avec quel bonheur, que belle est la vie en vos mains qui écrivent, l'âme est touchée en plein cœur, dans un désarroi immense s'ouvrant sur un ciel splendide et beau, auquel je goûte comme l'enfant qui découvre l'amour immense qu'est la vraie vie.

Mon Dieu quel bonheur, vous m'avez procuré, quel bonheur m'envahie, que n'ai-je touché le Ciel.

Emporté par ce joli champ de mots qui chantent ... »