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Madame Pylinska et le secret de Chopin Le visiteur
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Les deux messieurs de Bruxelles

Résumé

«En amour, on croit être deux alors qu’on est trois.»

Dans la lignée de Concerto à la mémoire d’un ange, La rêveuse d’Ostende et Odette Toulemonde, les nouvelles très romanesques d’Eric-Emmanuel Schmitt parlent de l’amour sous toutes ses formes?: conjugal, clandestin, paternel, filial, mais aussi amour de l’art ou amour de l’humanité. À travers un suspens subtil et ensorcelant, elles dépassent à chaque fois les apparences pour déjouer l’attendrissante complexité du cœur humain.

Un recueil de cinq nouvelles sur le mystère des sentiments inavoués. Souvent, l'architecture d'une vie est composée de passions invisibles, qui ne se diront jamais, que personne ne devinera, inaccessibles parfois même à celui qui les éprouve. Et pourtant, quoiqu'obscurs, ces sentiments sont réels; mieux, ils construisent la réalité d'un destin.

Critiques

Le point.fr - « Ne plus fuir sa souffrance et être heureux »

Dramaturge, romancier, nouvelliste, essayiste, cinéaste, Eric-Emmanuel Schmitt est l’un des auteurs les plus lus et les plus représentés dans le monde. Une raison à cela : ses lecteurs se reconnaissent dans les histoires qu’il écrit et qui prolongent, éclairent, consolent une partie de leur existence. Curieux des autres, il aime le risque de la rencontre, et découvrir, en toute circonstance, agréable ou pas, la beauté de l’instant. Cela sans refuser ce qu’il ressent, y compris la douleur. Car, contrairement à ce qu’enseigne notre époque, il invite à ne pas fuir nos épreuves, mais à nous y confronter pour apprendre le vrai goût du bonheur. Une manière de vivre qu’il met en situation dans son dernier livre, Les Deux Messieurs de Bruxelles ( Albin Michel), à travers l’histoire de Jean et Laurent, qui se questionnent sur le mariage et la parentalité ; de l’homme au chien, qui retrouve sa dignité d’humain, à Auschwitz, grâce à l’amour de l’animal ; de l’étrange passion d’un second époux pour le premier de sa femme ; d’une mère submergée par la culpabilité, à la mort de son fils ; d’un couple confronté à la maladie génétique. Cinq nouvelles, dont la force du récit nous pousse à mettre nos vies en perspective et à nous méfier des idées simples que nous pourrions avoir au sujet de l’Amour. L’amour, le fil rouge de son œuvre.


 

Catherine Bairry

L'Echo - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Sous la surface de nos vies

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Geneviève de Simone-Cornet

RTL plus.fr - « Les livres ont la parole »

Bernard Lehut évoque chaque dimanche midi des ouvrages qui marquent l'actualité de la littérature. Cette semaine, Eric-Emmanuel Schmitt pour "Les deux messieurs de Bruxelles" – Albin Michel.

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Bernard Lehut

Le soir magazine - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Eric-Emmanuel Schmitt se raconte au travers de "Les deux messieurs de Bruxelles", un receuil de cinq nouvelles dont le fil rouge est l'amour.

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Joëlle Smets

Metro - « Eric-Emmanuel Schmitt en plein coeur »

Livre :

Les histoires d'amour finissent mal en général.  Celles racontées par Eric-Emmanuel Schmitt dans son quatrième recueil de nouvelles, Les deux messieurs de Bruxelles, n'échappent pas à la règle...

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Judith Korber

L'Avenir (Belgique) - « E.-E. Schmitt : L'imagination peut changer la réalité »

Eric-Emmanuel Schmitt revient.

Et cette fois, c'est à nouveau un recueil de nouvelles.  Pour parler des amours invisibles et de vies imaginaires...

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Marie-Françoise GIHOUSSE

Le matin dimanche (Suisse) - « Eric-Emmanuel Schmitt conjugue l'amour au pluriel »

RECUEIL  Avec Les deux messieurs de Bruxelles, l'écrivain revient à la nouvelle avec aisance et fantaisie.

Au détour de cinq nouvelles, Eric-Emmanuel Schmitt poursuit ses interrogations humanistes sur les origines et les limites de l'amour.  On y croise, tour à tour, des êtres aussi aimants qu'humiliés par le destin.  Une épouse bafouée, épaulée par un couple d'homosexuels, vivant secrètement depuis des années par procuration sa vie de famille; un homme qui ne respire, depuis son internement à Auschwitz, que sous le regard affectueux de son beauceron; une veuve jalouse de l'intérêt que porte son nouvel amant aux compositions de son défunt mari; un enfant greffé du coeur et pris en grippe par les potentielles familles du donneur anonyme; un couple qui ne parviendra pas à s'aimer, hanté par cet enfant qu'ils ont refusé de mettre au monde...

Dans la pure lignée du Concerto à la mémoire d'un ange, l'écrivain qui a choisi l'optimisme pour toute confession de foi nous entraîne dans des existences hors du commun, et pourtant en résonance intime avec nos questionnements.   Originales et rondement menées, ces histoires se savourent avec un plaisir des plus simples - la fantaisie remplaçant ici aisément le style légèrement négligé.  Mais Eric-Emmanuel Schmitt reste fidèle à sa ligne : ses récits font immanquablement du bien.

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A.S. Sprenger

Elle - « Le CV littéraire d'Eric-Emmanuel Schmitt »

Théâtre, romans, nouvelles... Eric-Emmanuel Schmitt sait tput faire. Cet automne, son adaptation du Journal d'Anne Frank tient l'affiche du théâtre Rive Gauche, et ses nouvelles, Les deux messieurs de Bruxelles, à peine sorties, sont un succès.

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Pascale Frey

La fringalle littéraire - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Eric-Emmanuel Schmitt nous enchante avec 5 nouvelles entre philosophie et psychologie. Sublime.

 

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Christophe Mangelle

Le plaisir de lire - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Les deux messieurs de Bruxelles est un petit livre composé de 5 nouvelles vraiment formidable(s)...

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Stéphanie

Femme actuelle - « Eric-Emmanuel Schmitt conte l'amour dans tous ses états »

Une plongée en cinq histoires dans le labyrinthe complexe du coeur humain

 

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M.P.

Bricabook - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Les deux messieurs de Bruxelles, le nouveau recueil de nouvelles d’Eric Emmanuel Schmitt, nous parle de l’amour au sens large et interpelle son lecteur sur ce sentiment aux contours difficilement définissables. On serait effectivement bien en peine de pouvoir expliquer les raisons de notre amour envers quelqu’un…

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Leiloona

Blog Lire ou mourir - « Les deux Messieurs de Bruxelles »

Parlons donc du petit dernier d’Eric-Emmanuel Schmitt : Les Deux Messieurs de Bruxelles.

Ce recueil comporte 5 nouvelles qui abordent le thème de l’amour, et plus encore de ses intervenants.
Ainsi, nous avons des histoires dans lesquelles des personnes rencontrent l’amour, mais pas forcément dans la forme “classique” généralement admise.

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Garlon

Le quotidien du medecin - « Fragments de vies »

Écrivain à casquettes multiples - romancier, dramaturge, essayiste - Eric-Emmanuel Schmitt se distingue aussi comme nouvelliste...

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Martine FRENEUIL

24 heures (Suisse) - « Un recueil touchant »

De la même veine que son Concerto à la mémoire d'un ange (qui a reçu le prix Goncourt de la nouvelle), ces histoires sont celles qui font du bien et mettent un instant du baume à l'âme...

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Céline ROCHAT

Envies 245 - « Les deux messieurs de Bruxelles *** »

Cinq nouvelles surprenantes.

Un livre de nouvelles, c’est une série de gibiers chassés sur un territoire. Si les histoires diffèrent, elles ont beaucoup en commun, confie Eric-Emmanuel Schmitt dans son Journal d’écriture. Nous vivons tous deux vies, la factuelle et l’imaginaire. Et ces soeurs jumelles s’avèrent

des soeurs siamoises, plus intriquées qu’on ne le croit, tant le monde parallèle à la réalité la remodèle, voire la change. » Que ce soit Les deux messieurs de Bruxelles – histoire d’un couple d’homosexuels qui se marient clandestinement lors d’une cérémonie qui unit deux hétérosexuels –, ou Le Chien – un beauceron qui rend son humanité à un jeune homme déporté à Auschwitz –, ou encore Le Coeur sous la cendre – une femme qui aime davantage son neveu que son fils –, ces nouvelles dépeignent comment le coeur humain guide nos vies par-delà la raison et la conscience. Et comment des vies virtuelles se contruisent «et composent le fond d’une vie réelle».

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Claire Gollot

Sur la route de Jostein - « Les deux messieurs de Bruxelles »

Mon avis :

" Ce sera le thème de ce nouveau livre de nouvelles : les vies virtuelles qui composent le fond d'une vie réelle."

La légèreté d'écriture d'Eric-Emmanuel Schmitt peut donner l'impression que ces cinq nouvelles sont superficielles, pleines de bons sentiments, d' histoires d'amour "tellement françaises" . Mais l'auteur traite ici de sujets profonds et actuels de notre société.

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L'Écho de la Creuse - « Le pouvoir des fables »

Ses innombrables lecteurs vont se précipiter : le dernier E.E.Schmitt :

«Les deux messieurs de Bruxelles» vient de paraître chez Albin Michel :

couverture de Magritte «La reconnaissance infinie», Schmitt en

rouge sur fond de nuages, et cinq nouvelles dont la première donne le

titre du recueil. Une thématique d'ensemble les relie, évidemment :

ce sont ces sentiments invisibles aux frontières de notre conscience, «ces

vies virtuelles» qui décident de «nos vies réelles». Tous ces couples aux

relations amoureuses insolites ne savent pas toujours quels désirs et

aspirations profondes les mènent, ce que suggère Eric-Emmanuel

Schmitt, bien sûr. On croirait, dans son «Journal d'écriture» qui suit les

nouvelles, entendre Nathalie Sarraute dans «L'ère du soupçon».

Mais Eric-Emmanuel Schmitt est d'abord un merveilleux conteur

d'histoires, histoires souvent nourries des problèmes actuels de société : le

mariage homosexuel, les relations de l'homme et de l'animal, les greffes

de coeur, l'avorte- ment... et même d'événements comme l'explosion du

volcan finlandais Eyjafjöll. E.E. Schmitt fut d'abord un dramaturge et

l'est toujours puisque sa pièce sur Anne Franck et sur son père

«sublime» Otto Frank se joue actuellement au théâtre Rive Gauche

à Paris. Ses nouvelles révèlent le même savoir-faire dramatique, le

même art du mystère, du suspens et de sa résolution. Pourquoi Samuel

Heymann est-il beaucoup plus lié affectivement à son chien Argos, le

dernier de ses chiens successifs, tous beaucerons, tous nommés Argos,

qu'à ses malades ou à sa fille même qu'il aime pourtant et dont il est fier?

(«Le chien», dédié à Levinas). Quelles sont les raisons réelles et

obscures du mariage de Constance, veuve Mozart avec le baron von

Nissen, futur biographe de Mozart? Pourquoi Alba aime-t-elle puis

déteste-t-elle plus son neveu que son propre fils?

On songe à La Fontaine : «Si Peau d'Ane m'était conté. J'y prendrais un

plaisir extrême». Oui, parce que Peau d'Ane joint à la présence d'un

désir incestueux caché tout le charme de son récit. Dans la lignée

de Charles Perrault, mais sans fées ni sorcières, ce sont à des raisons du

même ordre que tient la séduction des histoires d'Eric-Emmanuel Schmitt.

Les deux messieurs de Bruxelles,

par EricEmmanuel Schmitt, 280 pages, Albin-Michel, 20 .

Pauline GENTIOUX

Le carnet et les instants - « Nouvelles - poésie »

En amour, on est toujours trois.

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Michel Torrekens

Tribune de Genève - « Plus tard, je veux faire pleurer les gens »

La philosophie mène à tout, même à une carrière d'écrivain populaire, Théâtre, romans, nouvelles...

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Pascale Frey

L'est éclair - « Les deux Messieurs de Bruxelles »

Les deux messieurs de Bruxelles

NOUVELLES :

La première nouvelle, aussi insolite et délicieuse que les quatre autres, donne le titre de ce livre dont la teneur tout autant que le ton, la trame romanesque, l'humour ou l'émotion, étonne, réjouit et captive....

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Luxemburger Wort - « Mytère des rencontres imprévues »

Eric-Emmanuel Schmitt publie une pièce et un recueil de nouvelles.

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Jean-Rémi Barland

Critiques des blogs

De la cour au jardin - « Le chien adaptation théâtrale: "Histoire poignante, écriture forte, acteurs bouleversants." »

Il est des pièces de théâtre, lorsqu'elles se terminent, lorsque le noir se fait, il est des pièces de théâtre après lesquelles on n'a pas envie de revenir du voyage.
De revenir à la réalité.
De revenir à nous.

Tellement l'histoire racontée est poignante.
Tellement l'écriture est forte.
Tellement les acteurs au service de l'auteur sont bouleversants.

Ici, c'est le cas.
Le Chien, d'Eric-Emmanuel Schmitt.

Ce chien Argos qui sera la clef du secret avec lequel vit depuis cinquante ans Samuel Heymann, médecin de campagne, rescapé d'Auschwitz-Birkenau.
L'un de ces hommes, cette poignée de rescapés, qui ont survécu à la déshumanisation programmée par d'autres hommes qui étaient persuadés appartenir à une race supérieure.

N'ayant pas lu la nouvelle de Schmitt parue dans un recueil intitulée « Les deux messieurs de Bruxelles » avant d'aller voir la pièce, je n'irai pas plus loin dans la divulgation de ce secret afin de vous laisser le découvrir au Théâtre de la Rive Gauche.

Je voudrais que vous soyez dans le même état que moi à sa révélation.

Ce secret sera révélé par la lecture de la lettre posthume qu'a rédigée le médecin juste avant son suicide.
Ce secret va nous rappeler la notion d'Humanité. Avec un très grand H.

Une Humanité qui caractérise chaque être humain, même s'il faut vraiment parfois creuser pour la dénicher.

Les deux comédiens, Mathieu Barbier et Patrice Dehent sont bouleversants, je l'écrivais un peu plus haut.
Sans surjouer, sans aucun effet superfétatoire, avec une justesse phénoménale et dans un décor réduit à quatre simples cubes en bois blanc pour s'asseoir, ils incarnent les deux personnages, le médecin et son ami écrivain.

A aucun moment, ils ne dialogueront entre eux.

Chacun leur tour, ils vont dire un long et bien souvent déchirant monologue.

C'est en effet le parti pris des deux metteurs en scène, Marie-Françoise et Jean-Claude Broche que d'alterner le texte des deux acteurs.

Ils ne quitteront pas pour autant la scène lorsqu'il n'auront pas de texte, ce qui donne une vraie force au spectacle. Ils s'écouteront mutuellement sur le plateau.

Deux autres personnages importants, qui pour autant n'apparaîtront jamais sur le plateau, jouent également un grand rôle.

La fille du médecin, à qui la lettre révélatrice est adressée.

Et un autre.

Cet autre personnage, un aristocrate, sera celui qui a tout déclenché.
Le secret.

Celui qui sera concerné par la dernière phrase du texte.
Une phrase magnifique.
« Il essaie d'être un Homme ».

Moi, ce soir-là, j'essayais juste dans le noir final de trouver un mouchoir pour essuyer mes larmes.

Yves POEY

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